Biologie Amusante

L'étude , qui a été publié dans les Actes de l'Académie nationale des sciences , inclus près de 1000 jeunes âgés de huit à 22 et a révélé de petites différences entre les filles et les garçons avant la puberté qui est devenu plus grand autour de 12 ou 13 ans .

Ce modèle, qui est resté tout au long de l'âge adulte , a montré que le cerveau des femmes ont été connectés à mieux intégrer l'émotion et la raison - tandis que les cerveaux des hommes ont des liens plus étroits entre l'action coordonnée et de la perception . Pour les hommes , qui traduit dans des cerveaux plus fortement connectés d'avant en arrière , les zones afin de perception et d'action axé apprécié des réseaux plus solides , tandis que les cerveaux des femmes avaient plus de gauche à droite câblage . Ce match a renforcé les liens entre les régions intuitives et émotionnelles avec les acteurs de la rationalité et de la planification .

Parce que la plupart des changements sont mis en place autour de l'adolescence , l'auteur principal de l'étude Ragini Verma , professeur adjoint de radiologie à l'Université de Pennsylvanie affirme que les deux facteurs biologiques et sociaux - de l'intensification des pressions culturelles pour se conformer aux rôles des sexes, aux changements hormonaux , peuvent être impliqués dans les réseaux divergentes.

Mais qui vient en premier - des différences biologiques générant les modèles masculins ou de connectivité femelle, ou des rôles sociaux de sexe renforcement des connexions spécifiques ? L'étude ne pouvait pas dire si une meilleure connectés les domaines d'action et de perception des hommes firent supérieure à compétences mécaniques ou si plus de pratique à des tâches exigeant de la dextérité physique agrandi et amélioré ces régions , en premier lieu . De même , l'avantage évident des femmes à intégrer l'intuition et l'analyse pourrait leur donner une meilleure protection sociale compétences ou plus socialisation pourraient améliorer ces régions du cerveau et de créer ce talent. Compte tenu de ce qui est connu sur la façon dont le cerveau se développe , une combinaison de la pratique et de la biologie - sous la forme de réseaux de neurones en particulier réceptives à ce type de pratique - est probablement impliqué .

Les influences culturelles sont également importants , par exemple , tandis que les filles aux États-Unis sous-performent généralement en mathématiques par rapport aux garçons , dans les pays scandinaves plus égalitaires , soit pas d'écart , ou seulement les petits existent . De même , dans l'Inde rurale , les filles des tribus où les femmes ont un statut plus élevé obtiennent de meilleurs résultats aux tests de compétences visuelles importantes pour les mathématiques que les filles des tribus qui sont plus patriarcale .

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Ainsi, les conclusions ne signifient pas nécessairement que les femmes sont tout émotionnellement qualifiés ou que les hommes sont toujours athlétique ou mathématiquement incliné. " Données antérieures Les chercheurs montre très clairement à quel point il est chevaucher entre les sexes », explique Cordelia Fine, professeur agrégé à l'Université de Melbourne en Australie et auteur d' illusions de Sexe: Comment nos esprits , la société et Neurosexism Créer différence , qui n'était pas associée à la recherche . Filles surclassent les garçons dans les zones où les hommes sont censés exceller 40 % du temps , dit-elle, et vice versa .

Mais la compréhension des différences entre les sexes dans les réseaux du cerveau pourrait être critique à l'étude de la maladie mentale et des troubles du développement , qui varient souvent selon le sexe et changent avec l'âge . Dans l'autisme , ainsi que dans la dépression et la schizophrénie , les niveaux de risque , le calendrier et les symptômes sont très affectés par le sexe . Même pour ceux affectés par ces troubles , les résultats pourraient être utiles pour comprendre ce qui rend les hommes et les femmes «pensent» différemment.